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Vincent Delbushaye commence le piano classique à 8ans.
Ce n’est que 8 ans plus tard qu’il glisse en autodidacte vers le jazz etla variété. La maîtrise qu’il en a acquise lui permet aujourd’hui de traduireen musique son univers, mélange subtil d’humour et de poésie.L’écriture vient bien plus tard. Formé àl’interprétation aux Ateliers chanson de Bruxelles, il y écrit ses premierstextes et découvre littéralement la passion qui l’anime encore aujourd’hui.

C’est notamment par le biais d’ateliers dispensés parAllain Leprest (2002) ou encore Juliette (2012) qu’il aiguise sa plume et soninterprétation.

En 2002, il termine second lauréat de la Biennale

de la Chanson

française(Bruxelles) et part en tournée dans les mois qui suivent. De concerts enconcerts, il étoffe son répertoire et se crée une véritable personnalitéscénique, à la fois drôle et touchantede sincérité.

La nouvelle se répand comme une traînée depoudre : un nouvel auteur-compositeur-interprète est né. Plusieursartistes de renom lui font confiance en l’accueillant en première partie deleur spectacle, parmi eux : Maurane, Bénabar, Alain Chamfort, Juliette,Philippe Lafontaine, Romain Didier, Pierre Vassiliu, Graeme Allwright, YvesDuteil, Nilda Fernandez, Annie Cordy,…

En 2006, après 4 ans de tournée, il sort son premieralbum « Pas trop fort », salué par la critique et récompensé d’unprix Coup de Cœur de l’Académie Charles Cros en 2007.

Il y livre 12 titres, pratiquement tous en piano voix,proches de l’intimisme de ses concerts.

Ses prestations scéniques sont elles aussirécompensées : Prix Coup de cœur mars en Chanson (2003), finaliste« Vive la reprise » (2008), Pic d’Or et Prix du Public à Tarbes(2008).

Après avoir défendu son premier album sur les scènesde Belgique, de France, de Suisse et du Québec, il était temps qu’il fixe ànouveau sur disque une série de morceaux, témoins de ses scènes d’aujourd’hui.

C’est ce qu’il fait en 2012 avec son Cd « Cequ’il faut que je sois », dans lequel il livre des chansons d’une écriturerésolument plus mûre, aux thèmes parfois plus graves, plus profonds. Sansjamais se départir de l’humour qui le caractérise, Vincent Delbushaye a basculédu côté d’une chanson plus forte, plus engagée.

La musique a, elle aussi, évolué. La formule solopiano a laissé place à un croustillant duo piano-guitare, qui sert à merveilleune musique plus tonique, plus pop.

Aujourd’hui, Vincent Delbushaye navigue entre lamusique (Vincent en concert, Sandra Kim en concert), le théâtre (L’Oiseau Bleu,Single, Gaby Montbreuse) et la radio (présentateur sur Musiq3 – chaîneclassique de la RTBF

)

Et c’est riche de toutes ces expériences et rencontresqu’il repart aujourd’hui, sur les scènes belges et internationales, défendreson nouvel album.
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