Une sorte d'historien de l'aquardéon traumatique en quelque sorte. Je fais même des conférences, illustrées d' authentiques documents d'époque sur le sujet, si ça vous intéresse. Je fais souvent des concerts tout seul...

Mais je préfère jouer à quatre (voir SVAHN ! sur ce site), avec la batterie d'Arnaud Le Breton (qu'est breton comme son nom l'indique), le sousaphone de Julien Fleury (qui apparemment a des racines horticoles), et les vieux claviers analogiques de Sylvain Paytra (…!...).

Il y en a qui prétendent que mon humour est décalé, qu'il y a des tiroirs dans mes chansons, dans lesquels on peut trouver des jeux de mots hors normes.

On dit aussi que mon accordéon traumatique renvoie des odeurs post-punks et after-alternatives. Il est vrai que j'ai subi davantage l'influence d'Iggy Pop et des Clash que celle d'André Verchuren et d'Yvette Horner. Ce qui a entraîné du côté de chez moi une irrésistible propension à faire de la musique percutante et jubilatoire.

J'écris mes textes avec des mots, mes chansons sont faites avec des notes et donnent la pêche, la patate et la banane. Avec tout ça, cerise sur le gâteau, quand je serai très vieux et que ce sera la fin des haricots, je monterai sûrement une épicerie.