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« Nadine Rossello, dont le cœur et la voix ne cessent de voyager sur les rives de Notre Mer, Mare Nostrum, en solo ou en polyphonies, a du chic, du charme et du chien.
Ou, pour dire les choses justement, une élégance tranquille, une douceur de contact, une puissance de cœur et de ventre qui emportent dès les premiers mots, les premières notes. Sa voix est une barque: un outil simple et familier, coloré sans éclat ni défauts, un peu égratigné içi, là polie par le sel et la houle, profonde, légère, tenant la gigue des coups de vent, la balance du flot levé aussi facilement que la mer d’huile. Guitare, piano et accordéon lui tiennent lieu de rames, godille et gouvernail, la musique des flots et les mots d’horizon. Abandonnons la métaphore. Celle qui, il y a dix ans, bouscula le petit monde clos de la polyphonie corse en créant un choeur mixte, celle encore qui ouvre les concerts de Cesaria Evora comme d' I Muvrini ou chante la femme d'oc, celle-là sait comme nulle autre faire briller la vie par la voix et le jeu d'un visage, d'un corps à l'expression délicate et forte.

Le périple ne serait pas le même sans les compagnons qui la flanquent : Didier Dulieux, accordéoniste prodigue dont on nesait jamais lequel, du corps ou de l'instrument, mène l'autre ; le discret Brahim Dhour, son oud serein et son violon léger, soyeux, follet, liquide ou sautillant; Laurent Paris, sculpteur d'échos sourds, de staccatos clairs et vifs, de froissements comme il l'est de ferrailles brunes..."J. O. Badia, le clou dans la planche.

« …. A tout vous dire, parles temps qui courent, c’est une démarche tout-à-fait salutaire. La presse est unanime, et quand elle évoque Nadine Rossello, c’est pour crier ceci : c’est terriblement superbe !... » le petit journal, Pays toulousain

«…travail remarquable qui nous vaut, à nouveau, un album magique et inspiré. Un bonheur d’écoute.» Michel Kemper, CHORUS.
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