C’est en observant le mouvement « H.I.P-HO.
P » depuis bien plus d’une décennie dés sa naissance aux U.S.A jusqu'à son arrivée en France que j’ai décidé de créer cette marque. En analysant et en suivant ce qui se fait là-bas puis avec l’expansion qu’a pris le phénomène en France j’ai décidé de concevoir une gamme d’habillement basée sur un concept précis classée « H.I.P-H.O.P de luxe ». Mes tendances peuvent se définir à travers des vêtements coupés assez amples (car on vise une clientèle « H.I.P-H.O.P » âgée de 15 à 25 ans & +) par un métissage entre le classique, les nouvelles technologies et le rétro. Le nom utilisé nous transporte dans un univers particulièrement sympathique à travers le septième art à l’écran celui de « la mafia ». Le logo est le symbole d’une alliance entre la violence et l’élégance. Je ne prône pas la violence gratuite à travers ce nom signifiant « le parrain » en italien (j’y ai d’ailleurs introduit un avertissement parental indiquant que le vêtement est hardcore) mais il attire le respect et donne une valeur et des principes à travers « la notion de famille » qui me tient à c--ur, (car pour moi la famille est ce qu’il y a de plus important) comme une sorte de code de l’honneur. Aujourd’hui de nombreuses marques parlent de la rue ainsi que de ses mauvais penchants « la mafia » représente donc pour tous ces adeptes de « gangsta-rap » un retour aux sources car ces gens sont partis de rien et on construit un empire c’est ce coté « bad boy » qui fascine tant les jeunes que j’ai voulu poussé à son paroxysme. A travers ce clash immortalisant la rencontre choc entre deux cultures différentes ayant un grand nombre de points en commun (le « H.I.P-H.O.P » et « la mafia ») va naître à la fin de ce mixage « el Padrino ». C’est pour cela qu’ « el Padrino wear » c’est plus qu’une mode, mais un mode de vie. Par 1
Le Héros du jour : Par'1 à Paris
Avec son look de rappeur américain et un ego bien trempé, Par'1 a attiré l'attention du jury.Pourtant, son flow reste perfectible.C'est un banlieusard passionné par le rap US, au point de faire les disquaires à la recherche des albums les plus pointus. Par'1 enregistre même dans son home studio quelques maquettes dans l'espoir de séduire un producteur. C'est donc plein de confiance qu'il s'est présenté devant le jury de Popstars. Par’1 en fait des tonnes. Ce rappeur de la région parisienne tire son look des quartiers chauds de Los Angeles et possède un ego surdimensionné. Pourtant, le jury aimerait aussi revoir ce candidat qui poursuit donc l’aventure.
Hip hip hop : Popstars !
...Le flow des candidats
Hormis les diamants chicos qui ornent désormais le «o» de Popstars, on est en terrain connu. Même voix off racontant les déboires des candidats d’une plume acérée («Les rêves se heurtent à la barrière de la mémoire»),) mêmes effets sonores (l’horripilant James Blunt - Good bye my friend - pour souligner les éliminations)… Et bien sûr, les Tracy, les Emeraude et les Jessica sont là, venues tenter leur chance, soutenues par leurs parents qui n’en reviennent pas d’avoir engendré tel talent en baggy. Car comme on se la joue r’n’b, les candidats ont adopté la tenue adéquate : bibi en fourrure blanche, coupe de cheveux à la Diam’s (et on n’avait pas mesuré le traumatisme capillaire qu’elle fait subir à notre pauvre France), lunettes noires mangeant tout le visage ainsi que cette démarche si particulière qui laisse à penser que ces pauvres enfants se sont fracturés le bassin. On suivra par exemple avec attention le destin de Par’1 (c’est son nom), auteur du définitif : «Le hip-hop, c’est la bande originale de ma vie ». Libération